Nous sommes engagés contractuellement avec notre réseau de sociétés de nettoyage sur un revenu minimum par heure de nettoyage effectuée.
Ce gain minimum défini s'avère appartenir à ce qui fait de mieux sur le marché, au bénéfice des sociétés de nettoyage.
Kliner reverse à ses prestataires de nettoyage la somme minimum de 21€ par heure de ménage lorsqu'il s'agit de micro-entreprises (auto-entrepreneurs), et de 24€ par heure de ménage lorsque les prestations sont effectuées par des PME (avec des salariés). Ce seuil minimum peut être plus important sur des zones en tension ou pour des prestations spécifiques.
Pourquoi Kliner se positionne ainsi ?
Cette valorisation du travail des aides ménagères est légitime pour au moins 2 raisons.
D'abord parce que le ménage dit Airbnb est un service particulièrement complexe à mettre en oeuvre et dont la réussite repose essentiellement sur les épaules des aides ménagères.
D'une part les clients attendent d'elles des prestations dignes de l'hôtellerie de luxe et dans le même temps les voyageurs sont de plus en plus critiques et exigeants. Il nous paraît normal que cette exigence se traduise par une juste rémunération.
Par ailleurs ces seuils minimums définis permettent aux sociétés de nettoyage de développer leur activité sans être contraintes de recourir au travail non déclaré. En effet, lorsque les prestataires sont payés en dessous de ce seuil, ils sont condamnés à travailler à perte ou alors à standardiser le travail non déclaré.
Est-ce que Kliner s'assure que chaque aide ménagère au bout de la chaîne est bien payée ?
Nous sommes liés à notre réseau de sociétés de nettoyage par un contrat de sous-traitance. Cela suppose que Kliner n'a pas le pouvoir, ni le droit, d'imposer le niveau de rémunération que chaque société de nettoyage négocie avec ses salariés.
Nous nous contentons de recommander à nos partenaires de verser aux aides ménagères salariées une rémunération minimum de 11€ net de l'heure.
Ils sont libres de la suivre ou non.